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| Titre : | L'impr©visible : roman / | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Metin Arditi (1945-....) | | Editeur : | Arles : Actes Sud | | Année de publication : | 2006 | | Importance : | 206 p. | | Format : | 20 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 2-7427-6257-4 | | Note générale : | Prix des auditeurs de la Radio suisse romande 2007 | | Résumé : | Anne-Catherine appartient la haute soci©t© genevoise. Elle vient de se s©parer de son mari et demande Guido Gianotti, professeur d'histoire de l'art la retraite, une estimation pour un tableau dont elle veut se d©barrasser. Tout oppose Anne-Catherine et Guido : elle a grandi dans les salons, il est fils d'un immigr© italien chauffeur de ma®tre , elle est encore jeune alors que lui subit l'humiliation d'une virilit© d©clinante... Pourtant, au contact l'un de l'autre, ces deux ªtres bless©s par la vie et par leur milieu vont retrouver une dignit©. A travers les rebondissements d'une enquªte qui entra®ne le lecteur dans l'univers des grands peintres de la Renaissance florentine, surgit le r©cit d'un violent amour cr©pusculaire. Anne-Catherine avait appris ouvrir une porte comme on apprend la valse ou les arts de la table, dans le souci de marquer son rang. Elle y avait mis ce qu'il fallait d'impatience et de s©cheresse pour faire comprendre au visiteur Vous ªtes ici chez moi, mon cher monsieur. Si je veux, je vous chasse. Sa poign©e de main, courte et s»re, ©tait celle d'une sportive. Je l'imaginai montant douze ans des chevaux nomm©s Hoola-Hop, Confiture, ou Zarathoustra. Mille et une excuses, je vous ai fait attendre ! Vous voulez bien me pardonner ? Ses excuses sonnaient si faux que du coup elles ©taient d'une franchise absolue : Vous avez droit des excuses de fa§ade, mon bon monsieur. Vous ne vous attendiez pas ce qu'elles soient sinc¨res ? Litt©rature suisse |
L'impr©visible : roman / [texte imprimé] / Metin Arditi (1945-....) . - Arles : Actes Sud, 2006 . - 206 p. ; 20 cm. ISBN : 2-7427-6257-4 Prix des auditeurs de la Radio suisse romande 2007 | Résumé : | Anne-Catherine appartient la haute soci©t© genevoise. Elle vient de se s©parer de son mari et demande Guido Gianotti, professeur d'histoire de l'art la retraite, une estimation pour un tableau dont elle veut se d©barrasser. Tout oppose Anne-Catherine et Guido : elle a grandi dans les salons, il est fils d'un immigr© italien chauffeur de ma®tre , elle est encore jeune alors que lui subit l'humiliation d'une virilit© d©clinante... Pourtant, au contact l'un de l'autre, ces deux ªtres bless©s par la vie et par leur milieu vont retrouver une dignit©. A travers les rebondissements d'une enquªte qui entra®ne le lecteur dans l'univers des grands peintres de la Renaissance florentine, surgit le r©cit d'un violent amour cr©pusculaire. Anne-Catherine avait appris ouvrir une porte comme on apprend la valse ou les arts de la table, dans le souci de marquer son rang. Elle y avait mis ce qu'il fallait d'impatience et de s©cheresse pour faire comprendre au visiteur Vous ªtes ici chez moi, mon cher monsieur. Si je veux, je vous chasse. Sa poign©e de main, courte et s»re, ©tait celle d'une sportive. Je l'imaginai montant douze ans des chevaux nomm©s Hoola-Hop, Confiture, ou Zarathoustra. Mille et une excuses, je vous ai fait attendre ! Vous voulez bien me pardonner ? Ses excuses sonnaient si faux que du coup elles ©taient d'une franchise absolue : Vous avez droit des excuses de fa§ade, mon bon monsieur. Vous ne vous attendiez pas ce qu'elles soient sinc¨res ? Litt©rature suisse |
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